Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Porcherie - Page 28

  • Welcome to Bronzeculand ! (1)

    Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait purement paranoïaque.

     

    (Je suis désolé de vous le dire, mais je me serais volontiers passé d’écrire un truc pareil ; ce n’est pas du tout ce que je voulais faire, mais c’est parti comme ça, d’un jet. Bien sûr, je sais que les propos qui suivent n’auraient en aucun cas pu être tenus par le Président, ni d’ailleurs par moi-même. Je ne décline pourtant aucune responsabilité, bizarrement. Je me dis simplement – mais n’est-ce pas encore une manière d’excuse ? – qu’il est tout à fait navrant, voulant singer et amplifier la situation actuelle, d’en être arrivé à écrire de telles atrocités, et dans une langue si débile.)

     

    60e10a006b5a442872a6eebdf5e66589.jpg

     

     

    Ce qui suit est une interview inédite du Président de la République française (Michel – dit Mickey – Grenelle) par le journaliste débutant Alain Potent, du journal l’e-Monde, telle qu’elle fut enregistrée…

    Sur le document vidéo, on peut voir Mickey Grenelle en short et chemisette dans les jardins de l’Elysée, un verre de Saint-Estèphe 1968 à la main et surveillant d’un œil expert la cuisson des merguez sur le barbecue présidentiel…

     

    ALAIN POTENT. – Monsieur le Président…

    MICKEY GRENELLE. – Merde alors, vous êtes ringard, vous. N’avez qu’à m’appeler Mickey, comme tout le monde.

    ALAIN POTENT. – Bien, Monsieur le Président…

    MICKEY GRENELLE. – Mais vous êtes bouché, ou quoi, Alain Potent ? M’encore appeler Monsieur le Président ! Vous êtes pas gonflé à moitié, vous ! Comme si je ne faisais pas tout pour la niquer total, la fonction présidentielle. Comme si je ne l’avais pas en six mois laminée, exterminée, six pieds sous terre enterrée, hein ? Vous imaginez de Gaulle à poil à la plage, avec sa bobonne ? Et Mitterrand avec sa maîtresse, non plus hein ? C’est que je suis transparent comme un miroir sans tain de salle d’interrogatoire, moi. Faut juste être du bon côté de la transparence, c’est tout…

    ALAIN POTENT. – Comment dire ? Pouvez-vous nous dire où que vous en êtes avé la France ? Vu que ça n’a pas l’air de fort marcher pour vous dans les sondages, Monsieur Mickey.

    f752bea3144b7b7c07639aca7b819171.jpgMICKEY GRENELLE. – La France ? Mais qu’est-ce que c’est que ça, la France ? C’est terminé, cette merde. Posez-moi plutôt sur ma femme des questions ; et peut-être alors que je vous répondrai après à une – une, hein, et pas deux – à une question sur la France, là, comme vous dites…

    ALAIN POTENT. – Bien, bien, Monsieur Mickey. Comment elle va, votre épousée ?

    MICKEY GRENELLE. – Merde alors, vous n’avez pas plus subtil comme question, merde. Un grand journal comme le vôtre, vous voulez y rester ? Il faut que je les fasse, ou quoi, les questions, merde. C’est que je vais vous l’appeler, moi, votre Directoire, et vous allez voir qu’est-ce que je vais lui-z-y faire, moi, napoléonien comme je suis donc. Demandez-moi donc comment que ça va, mon couple ?

    ALAIN POTENT. – Comment que ça va, votre couple, Monsieur Mickey ?

    MICKEY GRENELLE. – Bonne question. Eh bien, ça va vachement bien. Je m’occupe d’une femme qui souffre. Dolorès, c’est quelqu’un, n’est-ce pas ? Pas vrai qu’il faut sans doute souffrir pour ne pas comme ça réussir à se poser, hein. C’est qu’elle en a taillé, des pipoles, avant d’échouer sur ma gueule, Dolorès. Une vraie âme d’artiste, tout écorchée en plus, hein, la Blondie. Même qu’elle s’est faite refaire le nez, Dolorès. Faut-y pas pour de vrai souffrir, au point de les pas supporter, les imperfections de son narcissisme, hein, Alain Potent ?

    ALAIN POTENT. – Peut-être, peut-être, je ne sais pas, moi, Monsieur le Président. Mais bon, sinon, la France aussi elle souffre, non, vous ne trouvez pas, vous ?

    MICKEY GRENELLE. – Mais oui qu’elle souffre, la salope, enfin, comme toutes les bonnes femmes, si vous voyez qu’est-ce que je veux dire. Et ça n’est pas prêt de prendre fin, avec toutes les fausses couches que j’ai sous le coude…

    ALAIN POTENT. – Ah, bah, mais dites donc, les gens de la France, ils ne vous auraient tout de même pas un peu élu comme Président de leur République, non ?

    67f2d6db0e5ccae26cbd13401a2a2c1b.jpgMICKEY GRENELLE. – Mais c’est de l’histoire ancienne, ça, Potent ! Vous déraillez total ! Dites-moi pas que vous croyez encore à ces fadaises, hein, merde. Non mais je rêve. Et puis quoi encore… D’ailleurs, une fois que ça a été fait, c’était fini, couru d’avance. Alors, venez donc pas me parler de la France, hein ? Qu’est-ce que c’est que ça donc, la France ? La Fille aînée de l’Eglise ? Mais vous datez, mon vieux, vous datez. La République ? Mais la République aussi c’est fini, sombrée qu’elle est dans la démocrassie d’opinons-tous-ensemble-en-râlant-comme-des-veaux. Bref merde, vous voulez que je vous dise un peu qu’est-ce que c’est, la France ?

    ALAIN POTENT. – Je dois vous avouer que ça arrangerait pas mal mes bidons, en effet. D’autant que je suis simple pigiste, moi. Les têtes d’affiche du canard, ils sont tous en récup, épuisés de vous suivre d’Eurodisney à Louxor et de Washington à Pékin et de Téhéran à Tel-Aviv…

    557702b827c2d0500c42a1cc0a870d97.jpgMICKEY GRENELLE. – Eh bien mon vieux Alain Potent, entre nous je vais vous dire : La France, c’est la première destination touristique du monde, ouais. La première. Et même pas besoin de compter dedans les immigrés musulmans, clandestins ou pas (venez, venez, les gars, y en aura pour tout le monde avec même pour la forme deux-trois retours gratis qu’on peut gagner à la supertombola). La toute première d’Europe aussi, avec tout plein de Boches bouffeurs de saucisses et tout et tout, des Zollandais aussi, des Rosbeefs, et même des Suédoises. Vous ne comprenez pas, hein, Potent ? La France, c’est le bronze-culs de l’Europe. C’est pour ça que nous, les pipolitiques, on envahit les plages, et pas façon D-Day je peux vous le garantir. Avec pin-up et compagnie. Je vais même vous dire : Marilène Broyal, elle aurait pas fait mieux, je peux vous le dire. Pareil au même, elle se serait tapée un chanteur de droite type Barbelivien ou Hallyday, histoire de faire l’ouverture de la foire, et puis voilà, roule Mimile. Mais les plages, bordel, les plages, c’est là que ça débarque. La guerre économique, c’est là qu’elle est, et pas t-ailleurs. D’où vlà qu’il fallait bien la niquer, la fonction symbolique de Président à costume trois pièces, c’est d’un ringard, bordel de merde. La France, c’est Bronzeculand mon pote, et moi donc j’en suis le simple PDG à parachute doré du bordel, et pas bégueule avec ça, même qu’aussi je fais Gentil Organisateur. Une plage, un minaret. C’est ça l’avenir. Un coup USA, un coup Ben Laden.

    ALAIN POTENT – Je comprends, je comprends. Mais n’empêche, et ceux qui disent comme ça que vous êtes philosémite alors ? Parce que ça se dit, ça, hein, que vous seriez  copain avec des juifs, non ?

    557a726e178c6dec2ca887db0212b7c0.jpgMICKEY GRENELLE. – Aussi, évidemment. On voit que tu n’as jamais ramé avec une seule pagaie, mon gars. Pour aller tout droit, faut bien donner un coup de chaque côté, non ? Et si on ne fait pas en sorte que les juifs de France restent en France, eh bah sur la tronche de qui alors qu’on pourrait bien réconcilier tout le monde, merde ! Au cas qu’on se taperait une guerre civile, laquelle qu’on fait tout pour l’éviter en bâtissant mosquée sur mosquée, ça usine comme aurait dit je ne sais plus quel poète… D’ailleurs, c’est comme ça pour tout, c’est une question de moyenne, de statistique, la pipolitique : au lieu que les gens sont tous habillés normalement avec des habits, si tu as une pétasse à poil jambes écartées et une gentille gonzesse laïque en total burka, statistiquement c’est pareil au même, non ? Même poids de fringues par personne en moyenne… Sans compter que même les féministes trouvent tout ça tout chouette à max. Jamais le monde mondial mondialisé universel s’est autant joué sur l’image des gonzesses, d’où ma Dolorès, tu piges, Alain Potent ? Bref, j’appelle ça la laïcité positive, moi, parce que du négatif de toute façon, c’est interdit, prohibé. Y en aura pour tous les lobbies, toutes les communautés, on ajuste, on ajuste à la demande, et même qu’on te les réajuste en temps réel, les ajustements d’hier qui sont déjà dépassés. A grands coups de lois du bonheur. Pas de clopes, pas de gnôle, plus de bonbecs pour les gosses, un coup coca  amerloque sans sucre ajouté, un coup pas de cochon dans les écoles, charia sur fond de marchés financiers à l’horizon 2012. Je vais vous la faire, moi, l’Europe. Ce soir, c’est merguez à l’Elysée. Cigare ou pinard, Potent ?

    ALAIN POTENT. – Plutôt cigare, moi. C’est pas un lieu public, l’Elysée ?

    38ed4e8b53bc2f70b58e23c0e6b97de8.jpgMICKEY GRENELLE. – Ta gueule. Une petite transgression de temps en temps n’a jamais fait de mal à personne. D’ailleurs, c’est Fidel qui me les bazarde à pas cher.

    ALAIN POTENT. – Bah pourquoi pas alors.

    MICKEY GRENELLE. – Bien, Potent, bien. Allez, maintenant, allume ton machin et casse-toi, Dolorès va venir me chanter sa chanson.

  • L'Ecole du rire

     

    a1ab28bd997b05cae518970e240c4a55.jpg

     

    J’entendais, je ne sais plus quel samedi, dans son émission Répliques, sur France Culture, Alain Finkielkraut constater rien moins que la disparition de l’humour.

    Et certes, peu de choses sont aussi tragiques que cette disparition.

    Mais cette disparition elle-même n’est pas nette : elle est, comme tout ce que produit l’idée de transparence, salopeusement opaque.

     

     

    Que les humoristes ne soient pas drôles est un signe des temps ; et c’est peut-être ça le plus drôle.

    (La même chose à la fois m’atterre et me fait rire ; ce doit être cela, l’humour du désespoir. On vit jadis des gens mettre un point d’honneur à mourir juste après un bon mot. Notre civilisation – n’en déplaise au Président Mickey Grenelle, le mot civilisation n’est rendu réellement problématique que par l’impossibilité concrète d’encore lui accoler le mot notre (qu’est-ce que cela voudrait dire : « ma » civilisation ?) – meurt dans les borborygmes les plus affreux qui soient. S’étonner que ces immondices vocaux – non pas verbaux – soient produits par de prétendus humoristes avoue platement que l’on passe à côté de son époque).

    Il faudrait rire par-dessus son époque.

    Et ce n’est pas toujours si simple.

     

     

    Entre tant, il nous faut bien admettre que l’humour a plusieurs façons de disparaître.

    Il tend, par exemple, à se confondre au mépris pur et bas. C’est le versant Ardisson-Baffie, abyssale vulgarité qui, dans sa normative inversion des pôles, se croit une aristocratie – laissez moi rire !

    Mais il y a aussi – c’est un mode de disparition plus subtil, sans doute – son institutionnalisation, qui est en cours, qui est imminente, et qui, comme toutes les catastrophes produites à cadence par notre belle époque, va réussir.

    Un exemple ?

    A Reims, un journal gratuit de médiocre qualité, L’Hebdo du vendredi, consacre un article à l’ouverture d’une salle de spectacle privée. La salle s’appelle « A l’affiche », permet d’accueillir 250 personnes :

    « C’est Sylvain Collaro, propriétaire du café-théâtre le Don Camillo à Paris et associé au projet, qui a présenté le concept de « A l’affiche » rejoint ensuite sur scène par son frère Stéphane, célèbre créateur de l’émission le Bébête show et par Jean-Claude Walbert. Rapides et directs, les trois amis ont rappelé brièvement la vocation des lieux à savoir l’humour, le théâtre, la chanson et la promotion de jeunes artistes en devenir. » (Je laisse au nommé Julien Debant, signataire de l’article, la responsabilité de sa syntaxe.)

    Jusque là, rien que de très banal. Mais voilà :

    « Outre la diffusion de spectacles, « A l’affiche » devrait proposer des cours pour apprendre le métier d’humoriste. »

    Pourquoi pas, en effet ? La phrase suivante :

    « « Nous allons déposer un dossier auprès de l’Education Nationale et nous espérons pouvoir ouvrir notre école de l’humour à la rentrée 2008/2009 » précise Jean-Claude Walbert. »

    On y est.

    A quand l’ouverture d’une hypokhâgne préparant ouvertement à la « Star’Ac » ? D’un BTS « métiers de la pornographie » ?

    Rien ne dit que le dossier sera favorablement accueilli par l’Education Nationale. Mais si ce n’est cette année, ce sera la suivante ; et si ce n’est avec Collaro, on pourra certainement trouver des gens moins ringards : Cauet, par exemple, ou Michaël Youn – que j’ai déjà proposé pour la Comédie française…

     

     

    – Tu as fait l’école du rire ?

    C’est ainsi que cette ancienne blague idiote, qui suivait ordinairement une précédente blague pas drôle, va devenir réalité.

    L’Ecole du rire.

    Et ce rire même, que devra-t-il être sinon citoyen, tolérant, écologique ?

     

     

    Je suis désespéré. J’attends Molière, et le Saint-Esprit…

     

     

    Il disparaît aussi, l’humour, sous sa forme populaire, spontanée. Car enfin, il n’est point d’abord chose de spécialiste. A présent que les nouveau-nés, flanqués de leurs mères et pères, font leur apparition dans les cafés non-fumeurs, il faut s’attendre à ce que les blagues qui ne tombent pas encore sous le coup de la loi fassent l’objet d’une traque imbécile ; à ce qu’il se trouve, dans les plus brefs délais, un lobby de connasses et connards dénonçant je ne sais trop quel « blague-de-culage passif » (comme on dit : tabagisme passif) pervertissant nos adorables poupons…

    L’humour meurt. Et l’âge adulte avec lui.

  • Ecole de guerre civile

    Du temps que la société était décente, et que l’Education transmettait des connaissances, il arrivait que les enfants en récréation jouassent à moquer le très improbable envers du monde dans lequel, somme toute, ils étaient fort heureusement contraints ; cela donnait, très classiquement, ceci :

     

    Haut les mains

    Peau de lapin

    La Police en maillot de bain.

     

    L’idée que la police soit en maillot de bain, dans une société où les flics n’étaient pas en rollers, ne semblait pouvoir quelque jour advenir.

    Mais nous n’en sommes plus là.

    Le Ministre de la Justice lui-même s’étale partout en bikini.

     

    f7c619846d026954152fd4054b9786bd.jpgHaut les mains

    Peau de lapin

    La Ministre en maillot de bain

    … ça ne voudrait plus rien dire, puisque ça ne serait plus l’envers de rien.

    Les récréations des enfants, d’ailleurs, ne sont plus l’envers de leur éducation ; elles sont son avant-garde.

    Puisque l’Education ne travaille plus qu’à faire sauter des tabous, les enfants en récréation lui montrent l’avenir, et les progrès qu’il lui demeure à faire :

     

    Nique ta mère

    Nique ta race

    Mange tes morts

     

    Tel est le programme :

    Lever le tabou de l’inceste.

    Faire triompher le racisme sous couvert d’anti-racisme.

    Parvenir à l’anthropophagie – c’est-à-dire certainement à la guerre civile, ce qui ne se fera pas sans éradiquer tout respect pour les anciens, les pères et donc détruire préalablement toute transmission des connaissances historiques…

     

    Bref : Le niveau monte.

  • Scolastique contemporaine

     

     

    « Le niveau monte. »

    Dernière phrase du Capitaine du Titanic

     

    « Je sors à l’instant du coiffeur. »

    Un ami, comédien et homosexuel, conscient de faire ainsi, de ses « amours », un octosyllabe amusant et banal

     

    « Je sors à l’instant du coiffeur. »

    Exemple choisi par un professeur des écoles de CM1 pour illustrer une leçon de non-français sur le COI

     

     

     

     

    Je parlerai ce jour du sac (hélas institué) de l'Université française. 

    On connaissait l’ignoble idée de Chevènement d’amener 80% d’une classe d’âge au baccalauréat ; et ses résultats plus que désespérants…

    L’enseignement de la langue française est interdit.

     

    Un « honorable correspondant », ainsi qu'on dit peut-être encore dans le Renseignement, m’annonce par courrier électronique que la suite est en cours :

    « Or, pour votre information, officiellement, depuis le 01 janvier 2007, suite à la réforme Allègre-Royal de l’université (réforme LMD) le taux de réussite doit être de 70% au bout de 3 ans en licence (pour 100 étudiants en première année, 70 d’entre eux doivent réussir la licence de 3ème année…). Si cet objectif n’est pas atteint, les subventions de l’Etat ne seront plus allouées à l’Université qui aurait un taux d’échec supérieur de 30% en 2011 (plans quadriennaux)… Ça a été l’occasion d’hystérie collective au sein de l’Université quand cela fut annoncé en septembre-octobre 2006 chez les enseignants-chercheurs… par des e-mails officieux internes… avant l’annonce officielle bien inaudible avant les élections (et le premier qui en parlait était mort…)… Les présidents d’Université n’avaient plus alors d’autre choix que l’autonomie face à un objectif impossible à atteindre même en donnant les diplômes aux étudiants (problème d’évaporation estudiantine…)… »

     

    Autant dire que non contente de fabriquer à la chaîne des crétins, pour reprendre l’expression rendue célèbre par Jean-Paul Brighelli, la France, en distribuant systématiquement des licences à des étudiants qui se jugeraient idiots de travailler et que ces saloperies d’IUFM auront charge de bienvenir, mandate ces mêmes crétins à fabriquer à leur tour des abrutis.

    ET VOUS VIVREZ COMME DES PORCS.

     

    J'imagine que l'actuelle Pécresse compte un peu sur ces mesures éminemment socialistes, je veux dire : suicidaires, pour faire passer la pilule de l'autonomie auprès de ces crétins prompts à la grève. Je trouve que cela ressemble à caresser des branleurs dans le sens de la débandade.