Orwell - Page 2
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Liberte
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Indignez-vous !
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Le coq
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Enfin Jan Fabre vint
Enfin Jan Fabre vint.
Et il ne vint apparemment pas pour rien.
Il vint pour achever des beautés qui certes s’étiolaient ; pour les achever non parce qu’elles s’étiolaient, mais parce qu’elles étaient des beautés. Il vint pour défaire la critique et néantiser l’intelligence ; et lorsqu’il arriva elles étaient déjà tellement défaites et néantisées qu’elles lui firent allégeance de toute la bassesse dont elles étaient capables, et elles étaient capables. Il vint pour être lui-même un cadavre – un contemporain. Croyant vaincre, c’est en cadavre qu’il vint. Il s’auto-proclama, mais n’étant rien, il ne proclama rien.
Et en définitive, il ne vint pas, ne vainquit rien ; mieux, ne fut pas.
Son néant l’avait dès le départ vaincu tout à fait. C’est en tout cas la seule chose réjouissante qu’on puisse trouver chez Jan Fabre. Que maintenant des fonctionnaires ou assimilés tels, des journalistes de diverses polices, d’autres intrigants et concussionnaires encore, sans oublier la légion des suceurs de néant prétendument artistes lui laissent accroire le contraire est tout bonnement à se tordre de rire.
C’est bien cela qui tend vers la perfection.
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La vraie successeuse d'Aristote
Je crains fort que le pompon de la bêtise en matière théâtrale ne revienne à Armelle Héliot, honorable publicitaire en charge du théâtre au Figaro.