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Planche

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La phrase claire n’atteint pas mais parfois montre ce vers quoi elle tend.

 

Cela paraît idiot mais je suis toujours surpris que nous ayons des visages et surpris que nous cherchions toute une vie à y lire et qu’ils demeurent mystère.

C’est pour cela qu’au cœur même du mouvement je me sens toujours à l’arrêt.

Je me souviens de ce visage aimé il y a longtemps déjà sur lequel on a cloué une planche.

Je me repose sur vos visages qui m’échappent sans cesse de ne jamais pouvoir trouver vraiment le mien.

Je sais quel maître sert un art qui ne veut plus des visages et par-dessus tout je crains qu’il ne nous soit miroir.

 

 

 

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