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Et la troisième...

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En écrivant le précédent billet, Aux abois, qui vise, si je puis dire, une femme, je fus saisi de l’impression un brin enquiquinante de l’avoir déjà écrit, bien avant. J’évitai d’y penser pour continuer – préférant à presque tout la rumination d’épithètes. Mais sitôt posté ici-même, je suis allé chercher cet ancien billet, Portrait d’une déesse, écrit en février 2011, que le dernier en date m’avait évoqué.

Ce Portrait d’une déesse visait, lui, une autre femme. C’est pourtant le même billet, à peu près – bien qu’il soit dans son vocabulaire quelque peu différent tout de même. Ça fait variation sur le même thème, quoi.

Pourtant ces deux femmes, à ce qu’il m’en semble (et je ne parle pas du tout ici, non plus que dans ces billets, du physique, que cela soit bien clair) ne se ressemblent pas du tout. Alors ?

Alors je me suis dit que ces deux billets, qu’il m’amuse de nommer ici par dérision Portrait d’une déesse aux abois, formaient sans doute un seul et même autoportrait.

Et comme je suis très complaisant envers moi-même, ça m’a bien fait rigoler.

Non mais quel con.

 

 

 

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