Trouverez en cliquant ici, citoyens, la première partie de ce texte.
Pour lire la suite, cliquez sur lire la suite (logique).
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Trouverez en cliquant ici, citoyens, la première partie de ce texte.
Pour lire la suite, cliquez sur lire la suite (logique).
J’ai retrouvé il y a quelques semaines, presque par hasard, oublié dans la trop longue et bordélique liste de mes dossiers informatiques, précisément dans ce dossier-là bêtement intitulé « Chèques sans Providence », cette saynète, probablement écrite vers 2004 ou 2003, et qui ne m’a pas paru, tant je la trouve mauvaise, mériter autre chose qu’une mise en ligne – en deux morceaux – sur ce blog :