Billet d’adieu, en quelque sorte. Fin de la série, en tout cas.
Ces espèces de notes, faites pour qu’il n’y ait pas rien, ont bel et bien fini de me gonfler.
Rien paraît préférable…
Et puis, de temps en temps…
Paris est décidément une ville de merde.
Paris aujourd’hui.
Elle a fait ce pays, le défait aujourd’hui.
Inch’allah.
La météo des plages est excellente.
– Tu n’as plus rien à dire ?
– Ce petit monde me fait passer le goût de parler de lui ; il n’attend que ça.
– Pourtant, c’est toi, là, qui viens d’en parler.
– Oui. Ne me parle plus, mon ami. Va-t-en.
Oh, cela ne changera rien.
Il peut tenir dialogue seul.
Et qu’il se taise ou parle, le monde s’en fout.
Son bruit le couvre.
Alors ? Alors fais-toi plaisir, branleur.
Parle.
Se taire, c’est un coup à finir une kalach d’occase à la main en train de buter des cons banals dans une station de métro.
Ce serait bête.
Mais ça s’est vu déjà – ça ou l’équivalent.
Juste, ne parle pas pour tous.
– Oui, bon, mais est-ce que tu plaisantes ?
Quel vieux verbe, plaisanter. On l’emploie encore, vous croyez ?
Je le trouve un peu, comment dire ? civilisé.
– Bah ouais, t’en fais pas, ma couille, je plaisante.
Et puis, ne vous inquiétez pas, il ne se passe rien.
Continuez de lire vos merdes.