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Noël hier

 

 

 

 

 

 

Nous ne savons pas ce qu’il faut demander.

 

 

 

 

 

 

Commentaires

  • Troublant.

  • L'Eglise célébrait Saint-Etienne aujourd'hui 26. Elle est déjà passée de la Nativité au Martyre, quand tous les païens sont encore enfouis dans les guirlandes et la gueule de bois. Mon cher Pascal, demandons le martyre. Demandons donc le martyre.

  • @ Solko : Ah ! mais c'est que vous êtes en pleine forme !

  • @ Solko : De la Nativité au Martyre, dites-vous. En effet, que serait Noël sans Pâques? Il faut tout de suite les lier en perspective...

  • Quand Noël est vidé de son sens comment le lier en perspective à quoi que ce soit? C'est étrange en effet on ne sait plus trop ce qu'on fête, mais on ne peut pourtant pas se tromper. Alors Pâques? Où se cachent-t-elles donc dans la grande beuverie?

  • @ Tang : C'est pour cela que Solko a raison d'employer le mot de Nativité... Allez voir, si vous ne l'avez déjà fait, son billet sur saint Etienne. D'ailleurs, ce n'est pas moi, c'est l'Eglise catholique qui fait succéder à la fête de la Nativité celle du premier martyr chrétien, hein.

  • Je viens de lire justement le billet à St Etienne de Solko. Je sais maintenant ce qui est fêté à Noël - la Nativité, oui, l'adoration même justifie d'une certaine manière ces pauvres guirlandes.
    Et difficile sachant cela - impossible même - de ne pas sentir le mystère de ce qui doit suivre dès cet instant. Ce que je voulais dire donc est plutôt: où, singulièrement dévoyé évidemment est donc passé le Mystère de Pâques dans notre société "païenne"? Celui de la Nativité est perceptible trahi mille fois mais présent. Son terminus ad quem en revanche?

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