Il faut avoir confiance en l’offre et la demande,
Ces choses d’elles-mêmes, sans aucune commande,
S’ajustent toutes seules, œuvrant pour le meilleur :
C’est comme une machine programmée au bonheur,
Un automate à faire de la prospérité.
Je ne cesse de dire qu’il faut nous y livrer.
Ajoutez-y parfois quelques innovations,
Le marché a d’ailleurs de l’imagination,
Il est à lui tout seul comme une intelligence,
Disons même le mot : c’est une Providence.
LE PRESIDENT, acte II, scène 1