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Poubellication maison

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– Et maintenant ?

– Maintenant, j’ai l’air con.

 

C’est ce que je me suis dit en voyant la ramette posée sur le bureau.

500 pages écrites. Et serrées.

Tout faut.

10 textes.

Textes de théâtre et sortes d’essais – je ne suis pas un essayiste sérieux, il faut toujours que ça tire vers le pamphlet, la violence…

Ecrits entre 2005 et 2007.

Très précisément commencé le 25 décembre 2004 par l’envoi à la poubelle numérique de la bécane d’un texte intitulé Le Commandement de la machine, lui-même écrit de 2002 à 2004.

– C’est trop gros.

Coupons.

Je résume. Parce que, concrètement, ça prend du temps.

Il faut se décider.

De ces textes, seuls cinq demeurent.

Les autres ont dégagé.

La pièce la plus faible (selon moi), quoique peut-être une bonne idée, Spéculations, perspectives, cauchemar a rejoint Le Commandement de la machine. Poubelle.

D’autres seront peut-être débitées par morceaux sur ce blog. C’est également une poubelle. D’un sens. Mais pas seulement.

J’ai conservé par devers-moi, sentimentalisme ? le plus gros morceau, inachevé d’ailleurs, intitulé Catacombes dans la cuisine. A reprendre entièrement. Et à augmenter. Certainement en septembre 2008.

Restent cinq pièces, retravaillées.

Du dialogue. Que du dialogue.

Des dialogues.

Ces pièces font un roman.

Par défaut.

250 pages. Serrées.

Voilà.

Champagne.

 

 

 

Sommaire*

 

I. Dans les Provinces de l’Ennui

II. Absolute Wonderland.

III. Pour une Culutre citoyenne !

IV. Territoires de la merde

V. Ce que j’ai fait quand j’ai compris que j’étais un morceau de machine ne sauvera pas le monde

 

 

 

 

 

(*) Je modifie en fonction de ce nouveau sommaire la numérotation des extraits de Tout faut présentés sur Theatrum Mundi auxquels il est possible d’accéder par la colonne de droite.

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