A Ambre, dont je ne sais rien ;
aux autres lecteurs, connus et inconnus, amis ou ennemis, de ce blog.
Commençons, par goût pour l’auto-dérision, par citer l’un de nos meilleurs auteurs comiques, heureusement décédé :
« Ayant ainsi à tenir compte de lecteurs très attentifs et diversement influents, je ne peux évidemment parler en toute liberté. Je dois surtout prendre garde à ne pas trop instruire n’importe qui. »
Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle