En écrivant tout à l’heure, sans crayon ni papier, dans un café perdu au milieu des déambulations des acheteurs de Noël, le billet qui précède, j’ai repensé à quelque boutade que j’ai pris l’habitude d’opposer à quiconque me demande ce que je pense du théâtre, ou de la poésie, de Valère Novarina, lequel, pour tout vous dire, m’attire et me repousse également :
– Et tu penses quoi de Novarina ?