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curzio malaparte

  • Le Musée de la mer, de Marie Darrieussecq

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    Qu’on en accuse génériquement la bassesse de l’époque – ou en amateur de sous-catégories épuisantes : l’abrutissement journalistique triomphant, l’art contemporain niaiseux, l’imperium pornographique du cinéma et de l’image en général, ou ce que vous voudrez en fait de tordues épithètes… – le fait est que le roman s’est effondré en anecdotes et le théâtre en scénarios…

    Pourquoi, dès lors, perdre son temps à écrire des critiques ?

    Mieux vaut faire avec ces prétendus écrivains-là ce que l’école, manifestement, n’a pas fait.

    Je ne perdrai donc pas mon temps à vous parler de ce joli scénario – manière de dire que même les bonnes idées de départ (« manger de l’immangeable, coucher avec l’ennemi »), empruntées respectivement, de l’aveu de l’auteur de la rédaction, à Malaparte et Bergman ont été illico bousillées –, Le Musée de la mer, que Marie Darrieussecq a non seulement écrit mais encore publié, mais me contenterai de le noter :

     

    Le musée de la mer : 4/20

    Rapport qualité/prix : 1/5

     

    Et encore, je me trouve laxiste.

    Honnête, j’aurais mis 2/20.

    Mais j’ai préféré faire jusqu’au bout l’enseignant.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On peut également aller voir le brouillon d'article, plutôt positif au demeurant, que j'avais écrit sur Ordet de Kaj Munk (adapté par Marie Darrieussecq.)