Je suis plutôt contemplatif, comme garçon ; mais la contemplation ne se dit pas en mots.
Le monde a besoin de se soûler de mots ; et il fait ce qu’il faut pour ruiner ma contemplation.
J’oscille alors entre effondrement et colère, préférant la colère que je ne quitte qu’effondré.
La contemplation, vrai repos, moment volé au monde, souvent la nuit, quand la technique a fini ses hurlances.
Emitte Spiritum tuum, et creabuntur : et renovabis faciem terrae. Alleluia.