La première partie est ICI.
Je poursuis donc à la hussarde cet impromptu foutraque emphatiquement nommé mystère, sans crainte (« on est au XXI° siècle, tout de même ! » comme disent les progressistes) d’ajouter l’indigence à la caricature…
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La première partie est ICI.
Je poursuis donc à la hussarde cet impromptu foutraque emphatiquement nommé mystère, sans crainte (« on est au XXI° siècle, tout de même ! » comme disent les progressistes) d’ajouter l’indigence à la caricature…
Vingt-trois heures trente. Je prends l’air sur mon balcon. Un jeune homme, manifestement énervé, sort difficilement un vélo du porche de mon immeuble, trois étages au-dessous. Il maugrée :
– Pas le premier soir… Pétasse !....
Puis il monte sur son vélo, remonte la rue à contre-sens, fait demi-tour, jette un œil à une fenêtre voisine, repasse sous mon balcon, change de vitesse, refait demi-tour, jette l’autre œil à la même fenêtre voisine, s’en va.
Je le regarde pédaler lentement, plus abattu déjà qu’encore énervé. Peut-être ne peut-il finalement que s’en prendre à lui-même, à l’audace ou au manque d’audace qui l’aura rejeté dehors.
J’en rigole encore.