Il la vit, la désira à l’instant, s’en aperçut, ne lui trouva plus aucun intérêt.
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Il la vit, la désira à l’instant, s’en aperçut, ne lui trouva plus aucun intérêt.
Commentaires
Il ne la désirait déjà plus, non?
Allez savoir.
Ah. est-ce qu'on aura les morceaux manquants, Pascal? (par exemple le 10 entre 9 et 11). non pas que j'attende d'eux la réponse, rassurez vous. Mais j'attends d'eux de les lire, tout bêtement.
Seulement si je les écris !
Belle année, sans désir (trop fugace) mais avec plein d'envie d'écriture (pour notre plaisir), de théâtre et de ce qui vous fait jubiler (mais si mais si, vous jubilez parfois, j'en suis sûre).
Un fabliau bien moderne, notre homme est instantanément saturé.
Marrant que vous le lisez comme ça, Marie-Hélène.
Oui, en fait de plusieurs façons: d'abord je me suis dit tout (ou presque!) est dans "à l'instant" (pas de temps, pas de quête, pas d'obstacle, c'est tout cuit...), après non c'est "s'en aperçut" (il est si conscient de son désir qui ne lui plaît pas, trop facile, "inadéquat" à ses yeux, voire amoral qu'il s'en détourne, essentiellement déçu..), et après dans "plus aucun intérêt" (cette femme le sature instantanément telle la société moderne qui nous écrase de ses objets à foison). Enfin bref, en vérité je ne sais pas c'est une exégèse bon marché, ma tambouille à moi, mais j'avais envie (le désir?...Ah!!!) de répondre un peu plus précisément.
J'aime les commentaires plus longs que le billet. ;)