Le texte est si puissant, profond de cette Lettre sur le pouvoir d’écrire, adressée en 1943 par Claude-Edmonde Magny à Jorge Semprun, que je renonce par avance à en dire quoi que ce soit ; je renonce même à toute citation, parce que le texte est si court qu’il faudrait citer tout, et c’est certainement illégal. Rien au XXème siècle, à propos de littérature, depuis ma lecture du Babel de Caillois, dont je n’ai rien dit ici non plus, ne m’avait fait cet effet. A bon entendeur…