Il convenait facilement, trois cents ans après le tardif La Bruyère, qu’il ne restait plus rien à écrire. Il se demandait benoîtement pourquoi c’était encore ainsi aujourd’hui. Et puis il se mettait à raconter sa vie.
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Il convenait facilement, trois cents ans après le tardif La Bruyère, qu’il ne restait plus rien à écrire. Il se demandait benoîtement pourquoi c’était encore ainsi aujourd’hui. Et puis il se mettait à raconter sa vie.