Peut-être la pièce ne rencontre-t-elle la tragédie, paradoxalement, qu’en poussant au plus loin la volonté de l’éviter.
Il faut que la pièce finisse bien.
Même, sinon mieux, il faut à tout prix que la pièce finisse bien.
Et cet à tout prix-là concasse les hommes.
Et, puisque la comédie ne se définit en bonne règle que de finir bien, la tragédie consiste tout entière dans le fait de vouloir à ce point la comédie.
La tragédie est sa corruption même.
Commentaires
Ah, c'est pas faux, sépafo ! Voir à ce sujet, et de façon flagrante, "La guerre de Troie n'aura pas lieu" de Giraudoux.
Court et bon. Vous êtes toujours vivant malgré ces cigarettes et ces whisky permanents Pascal?