Disposer librement d’un monde tout en ayant le mépris de ses lois. L’acte qui impose la loi. Bonheur de cette fidélité à la loi.
Mais il n’est pas possible de n’imposer au monde que la loi, tout restant comme par le passé, tandis que le nouveau législateur serait libre. Ce ne serait pas là une loi, mais un acte arbitraire, séditieux, une condamnation de soi-même.
Kafka, Journal, 1° novembre 1921, traduction Marthe Robert
Tel est, depuis quelques jours, et si la formule n’est pas trop forte pour mes capacités, mon objet de méditation dramaturgique.
C’est tout.